Cabinet de conseil en communication, Comfluence a réalisé une étude sur la communication hospitalière en temps de crise. L’étude fait l’analyse de la présence de l’ensemble des CHU/CHRU de France sur les réseaux sociaux et mesure en détail les conversations marquantes et les sujets qui sont le plus remontés pendant les moments les plus critiques de la crise sanitaire. Elle décrypte également la manière dont les CHU/CHRU se sont mobilisés pour faire face à une situation inédite et apporter une information très demandée à ses cibles.
Partant de ce point, le cabinet a pu émettre plusieurs conclusions, avec en premier lieu un pic « historique du nombre de tweets partagés par les CHU/CHRU ». «1 400 messages diffusés à la mi-mars par les 31 CHRU de France (hors AP-HP) lors du 1er confinement, avec une place évidemment prépondérante occupée par le sujet Covid-19 », détaille l’étude qui met également en évidence la capacité de mobilisation des directions de la communication des CHU/CHRU.
« Intégrées aux cellules de crise des hôpitaux, elles ont imaginé et déployé des actions et outils innovants pendant le cœur de la crise, constate Comfluence. Ces directions ont fait preuve d’une réactivité sans précédent et contribué à renforcer la communication interne et externe des hôpitaux. Elles ont également développé sur les réseaux sociaux un volet sociétal inédit pour soutenir les personnels, combattre les fake-news, informer les Français, diffuser des messages de prévention à une échelle record… »
Partant de ce point, le cabinet a pu émettre plusieurs conclusions, avec en premier lieu un pic « historique du nombre de tweets partagés par les CHU/CHRU ». «1 400 messages diffusés à la mi-mars par les 31 CHRU de France (hors AP-HP) lors du 1er confinement, avec une place évidemment prépondérante occupée par le sujet Covid-19 », détaille l’étude qui met également en évidence la capacité de mobilisation des directions de la communication des CHU/CHRU.
« Intégrées aux cellules de crise des hôpitaux, elles ont imaginé et déployé des actions et outils innovants pendant le cœur de la crise, constate Comfluence. Ces directions ont fait preuve d’une réactivité sans précédent et contribué à renforcer la communication interne et externe des hôpitaux. Elles ont également développé sur les réseaux sociaux un volet sociétal inédit pour soutenir les personnels, combattre les fake-news, informer les Français, diffuser des messages de prévention à une échelle record… »
« Il y aura un avant et un après crise sanitaire »
Parallèlement, ces derniers mois, les établissements hospitaliers ayant des comptes sur Facebook, Twitter et Linkedin, ont aussi vu leur nombre d’abonnés progresser, « certains parvenant même à le tripler, bâtissant ainsi des communautés tout à fait différentes de celle s’intéressant “simplement” à l’activité de l’hôpital lui-même », précise l’étude.
« Il y aura un avant et un après crise sanitaire, complèteJérôme Ripoull, co-fondateur de Comfluence. Les directions de la communication ont été placées au centre de la stratégie hospitalière et se sont révélées, par l’intermédiaire de leur stratégie social media, comme des tiers de confiance indispensables d’un système de santé complément bouleversé et surabondance d’informations contradictoires. Elles ont toutes les raisons de le rester et de redéfinir un positionnement plus ambitieux qui bénéficient à tous : l’établissement, ses dirigeants, ses personnels. Les hôpitaux ont pu mesurer la force d’attractivité, d’information et de mobilisation que les réseaux sociaux permettent. Avec des moyens pourtant très hétérogènes, la nécessité d’une présence assidue et d’une adaptation d’une ligne éditoriale devant désormais s’adresser à tous (personnels, patients, élus, citoyens …), les réseaux sociaux vont être le fer lance de la communication et de l’influence des hôpitaux dans les années à venir et le vecteur de création de marques fortes. Mais, il faut de vrais savoir-faire qui ne sont pas toujours internalisés. »
Télécharger l’étude ci-dessous.
« Il y aura un avant et un après crise sanitaire, complèteJérôme Ripoull, co-fondateur de Comfluence. Les directions de la communication ont été placées au centre de la stratégie hospitalière et se sont révélées, par l’intermédiaire de leur stratégie social media, comme des tiers de confiance indispensables d’un système de santé complément bouleversé et surabondance d’informations contradictoires. Elles ont toutes les raisons de le rester et de redéfinir un positionnement plus ambitieux qui bénéficient à tous : l’établissement, ses dirigeants, ses personnels. Les hôpitaux ont pu mesurer la force d’attractivité, d’information et de mobilisation que les réseaux sociaux permettent. Avec des moyens pourtant très hétérogènes, la nécessité d’une présence assidue et d’une adaptation d’une ligne éditoriale devant désormais s’adresser à tous (personnels, patients, élus, citoyens …), les réseaux sociaux vont être le fer lance de la communication et de l’influence des hôpitaux dans les années à venir et le vecteur de création de marques fortes. Mais, il faut de vrais savoir-faire qui ne sont pas toujours internalisés. »
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